AGENDA ACTIONS 2025

Déconstruire auprès des jeunes le handicap en entreprise

Jeudi 21 mars, jeunes, étudiant.e.s, professionnel.le.s et parents étaient réunis à l’ESSCA. Un rendez-vous pour débattre et échanger sur la déconstruction du handicap en entreprise et pour promouvoir la poursuite d’études supérieures pour les élèves en situation de handicap. Cet atelier s’inscrit dans le programme de tutorat PHARES* que l’école de management a rejoint en novembre 2016.

 

Du tutorat pour accompagner les jeunes

 

Chaque jeudi, les étudiants volontaires de l’ESSCA retrouvent des jeunes en situation de handicap pour des ateliers. Le but de ces rencontres ? Les préparer et les encourager dans la poursuite d’études supérieures.

Les tuteurs mettent alors en place différentes activités. Les jeunes apprennent ainsi les techniques d’expression, améliorent leurs aptitudes à travailler en équipe et développent une meilleure connaissance d’eux-mêmes. Ils découvrent également les filières, l’orientation et l’entreprise.

« Ce que j’aime bien dans ce projet c’est que je peux parler sans être jugée. Je suis dans un lycée où les personnes comme moi ne sont pas bien intégrées. C’était le moyen pour moi de m’exprimer. Lorsque l’on m’a dit qu’on serait accompagné je me suis d’abord dit que c’était bien… Et j’ai découvert qu’on peut parler et que c’est un lieu où je suis en confiance. Des endroits comme ça où on est pas jugé, franchement, ça se fait rare ! » souligne l’une des participantes.

Le rôle des entreprises

 

Conviées par FACE Angers Loire, Sylvie de Baker Tilly Strego et Nathalie de Cap Emploi étaient présentes à l’atelier du 21 mars. Oreilles attentives, elles ont ainsi pu conseiller et rassurer les collaborateur.trice.s de demain quant à leur place, évidente, en entreprise.

Alors qu’une des jeunes filles présentes évoque sa difficulté à s’intégrer dans son lycée et s’inquiète de la manière dont elle pourrait s’intégrer en entreprise, Sylvie partage l’histoire d’une salariée en situation de handicap.

« Chez Strego, nous avons embauché une salariée qui a un handicap, une sclérose en plaque, mais ce n’est pas son handicap qui l’empêche de faire son métier. Son objectif est de sortir les fiches de paie tous les mois et en aucun cas elle n’est jugée sur son handicap. Elle est très bien intégrée à l’équipe sans qu’il n’y ait de jugement. Pour autant, je suis référente handicap, je souhaite quand même faire le point parfois, pour les rassurer et leur dire que s’il y a des besoins particulier, je suis là. »

Grâce à ses rencontres et à l’accompagnement de leur tuteur, les jeunes reprennent confiance dans un avenir en entreprise auquel ils doutaient.

« Quand Léa est venue me chercher, j’ai eu peur, on me proposait quelque chose qui était tellement génial … Mais est-ce que ça existe ?! Je me suis lancé et je me suis tout de suite senti tellement très bien et je voulais qu’une chose : être à jeudi. Avec nos tuteurs c’est un lieu d’échange, d’écoute, de partage … Et comme ma collègue, c’est quelque chose qui se fait rare. » Matis, jeune accompagné

Nous leur souhaitons une très belle continuation et de beaux moments auprès de leurs futurs camarades dans leurs études et de leurs futurs collègues en entreprise.

Portrait d’entreprise engagée : BNP Paribas Angers

FACE Angers Loire donne la parole aux entreprises dont l’engagement se traduit par la présence de ses collaborateur.trice.s lors de nos différentes actions et événements. BNP Paribas Angers est à l’honneur dans cette nouvelle édition des Portraits d’entreprises engagées. Hugues Arminjon, Directeur Territoire des agences BNP Paribas Angers-La Flèche-Saumur, nous parle de l’engagement de l’entreprise, notamment auprès des jeunes.
 


 

Qu’est-ce qui motive l’engagement de votre entreprise dans les actions de FACE Angers Loire ?

 
Fin 2018, BNP Paribas lançait la Direction de l’engagement avec comme objectifs :

  • Accompagner la transition énergétique de nos clients.
  • Favoriser l’égalité des chances.
  • Renforcer l’attractivité des territoires et l’inclusion.
  • Soutenir toutes les formes d’entrepreneuriat.

 

Les Wi-Filles et les collaborateurs de BNP Paribas lors de leur visite dans l’agence d’Angers

Cette création m’a conduit à m’interroger sur ma contribution personnelle « C’est bien, c’est généreux ! je regarde ou je me lance ? »

Dans le même temps, Projet Banlieues que BNP Paribas avait créé il y a 12 ans, se redéployait à travers un ambitieux programme de soutien aux associations de proximité créatrices de lien social dans les « quartiers »

Ce fut le déclic ! J’ai alors fais le pas pour que le Territoire BNP Paribas Angers rejoigne FACE, mais aussi l’école Le Gouvernail qui appartient au réseau Espérance Banlieues soutenu par un partenariat national BNP Paribas.
 

Les Wi-Filles lors de la visite de l’agence BNP Paribas

Dans quelles actions du Club votre entreprise s’est-elle investie ?

 
La photo illustre bien l’engagement des équipes BNP Paribas Angers auprès de WI-Filles : se rendre disponible et apporter un soutien concret à travers des stages (classe de troisième) et accueillir la promotion 2019 pour une découverte du Digital bancaire.
 

Quelles sont les actions auxquelles vous avez participé ? Qu’en retirez-vous ?

 
J’ai participé au lancement de WI-Filles et je garde un excellent souvenir de mon pitch devant la promotion 2019 rassemblée au collège Debussy !
 

Lors du lancement de Wi-Filles

L’accueil de collégiennes en stage de troisième reste aussi un moment fort sympathique qui permet une prise de recul, une remise en question sur son métier, parenthèse salutaire car … pleine de fraicheur et de gratuité.
 

Une rencontre, une action qui vous a marqué ?

 
Je reviens sur le lancement de WI-Filles : le projet devenait concret et la rencontre avec cette promotion qui se lançait dans l’aventure dégageait une belle énergie et une formidable envie de les accompagner de notre mieux !

 


 
Merci à BNP Paribas Angers et à ses collaborateur.trice.s pour leur engagement et leur implication dans les différentes actions du Club.

Wi-Filles, 3 mois déjà !

Depuis janvier, les mercredis après-midi des collégiennes du Club Wi-Filles (scolarisées aux collèges Claude Debussy et Jean Lurçat) sont rythmés par des ateliers, des visites d’entreprises et des rencontres avec des professionnel.le.s du numérique. Retour sur les trois premiers mois de l’aventure Wi-Filles à Angers.

 

A la découverte du monde du numérique

 

Déjà trois rendez-vous avec les étudiants de l’ESAIP pour les Wi-Filles. Ces futurs experts en Big Data, Objets connectés et Cybersécurité reprennent le chemin du collège pour faire découvrir leur univers lors des ateliers découverte du numérique.

Les Wi-Filles se sont ainsi initiées à la programmation et ont codé leurs premières lignes en HTML pour construire une page web. Comment hiérarchiser son contenu sur une page ? Comment créer un titre et insérer une image ?

“Allez-y testez ! L’informatique, c’est ça, il faut tester tout le temps. Même si ça ne marche pas, il faut continuer.” souffle Gabriel aux Wi-Filles lors de l’atelier “guirlandes lumineuses” ou comment programmer un objet depuis un ordinateur.

 

Atelier « guirlande lumineuse »

Un encouragement à persévérer qu’elles n’oublient pas lorsqu’il s’agit de programmer les mouvements permettant à un personnage de sortir d’un labyrinthe. Chaque atelier imaginé par les étudiants est ainsi pensé pour qu’elles s’initient à la programmation et découvrent l’univers du numérique de manière ludique.

Elles sont encouragées à essayer et à recommencer quand le résultat obtenu n’est pas celui attendu. Un moyen de développer leur confiance en soi et de leur faire prendre conscience qu’elles sont capables de tout accomplir.

 

Une plongée dans le monde de l’entreprise

 

Mercredi 20 mars, les Wi-Filles se donnent rendez-vous devant le collège Claude Debussy pour prendre le bus direction … BNP Paribas ! Durant cette première sortie, elles découvriront les métiers du numérique dans la banque.

Après le quiz, la réalité virtuelle chez BNP Paribas

Réparties en deux équipes, elles sont invitées à participer à “Qui veut gagner des bonbons ? “, un quiz à la découverte du numérique bancaire. La concentration et la compétition sont à leur maximum pour gagner la boîte de bonbons mise en jeu !
Animé par Jérôme, Responsable Digital régional, et Baptiste, l’activité suscite parfois l’étonnement chez les Wi-Filles. “On peut envoyer de l’argent par message ?”, s’exclame l’une d’entre elle en découvrant une utilisation insoupçonnée de son téléphone.

Ces visites et la rencontre avec des collaborateur.trice.s d’entreprise permettent aux collégiennes de découvrir les richesses de l’écosystème du numérique angevin.

 

La suite de l’aventure Wi-Filles

 

Initiation à la programmation et réalisation de projets numériques sont au programme des prochaines semaines. Ne manquez pas les actualités du Club Wi-Filles en les suivant sur Twitter avec #wifilles49.

Et, rendez-vous très bientôt pour connaitre la date de l’événement de clôture du Club. Il y aura des surprises !

Les Wi-Filles pendant un atelier

Merci !

 

Merci aux partenaires de l’action Wi-Filles, qui par l’engagement de leur structure et/ou de leurs collaborateur.trice.s permettent aux collégiennes de s’initier aux métiers et aux compétences du numérique.

Merci aux étudiants de l’ESAIP qui animent les différents ateliers, avec enthousiasme et bonne humeur, depuis janvier.

Merci à BNP Paribas d’avoir ouvert ses portes aux Wi-Filles.

Merci aux entreprises et aux professionnel.le.s impliqués dans les futurs ateliers et sorties, que vous découvrirez dans la deuxième partie des aventures du Club Wi-Filles d’Angers !

 

Accompagner les salariés aidants en entreprise

Ils.Elles accompagnent un enfant, un parent ou un proche dépendant et/ou en situation de handicap et ont un emploi. Ils.elles, ce sont les salarié.e.s aidant.e.s. Selon des données statistiques, aujourd’hui 1 actif sur 6 est aidant.e. Dans dix ans, ils.elles seront 1 sur 4.

Jeudi 21 mars, entreprises et acteurs du territoire étaient réunis à la CCI de Maine et Loire pour comprendre l’impact de l’aidance sur l’entreprise et des leviers d’actions pour les accompagner. Ce petit déjeuner était à l’initiative d’un partenariat entre AG2R LA MONDIALE et le CIDFF 49  qui se sont associés au CCAS d’Angers, l’UDAF 49 et FACE 49 pour apporter des pistes de réflexions au nouvel enjeu du vieillissement de la population sur les entreprises et ses salariés.

 

Des aidants nombreux mais invisibles

 

En France, on compte 12 millions d’aidants. Parmi eux, 47% sont en emploi. Un chiffre qui tend à augmenter au fil des ans notamment en raison de l’allongement de la durée de la vie et de l’augmentation des pathologies liées à l’âge. Toutefois, la crainte d’être stigmatisé ou encore le fait de considérer l’entreprise comme un espace de repos et de répit mènent ces actifs à ne pas évoquer leur situation dans la sphère professionnelle. 88% des salariés aidants affirment, en effet, n’en avoir jamais parlé à leur entreprise.

Souvent, ces aidant.e.s relèguent leur propre santé au second plan. Ainsi, 9 sur 10 se disent fatigués moralement et 8 sur 10 physiquement. Dans l’entreprise, la charge mentale qu’ils subissent, le stress, la fatigue et le manque de temps impactent les performances, entraînent des absences répétées, des arrêts maladie voire le burn out.

Au cours des 12 derniers mois, 75% des salariés aidants actifs se sont arrêtés en dehors des congés payés. Des arrêts imprévus, de courte durée, qui impactent l’organisation de l’entreprise et représentent une perte importante. Les entreprises doivent donc s’emparer du sujet et adopter une démarche de reconnaissance de ces aidant.e.s.

 

 

L’importance d’être reconnu et accompagné

 

Les entreprises ont un rôle important à jouer afin de rendre visibles les aidant.e.s et de les accompagner dans leur quotidien. L’entretien annuel et la diffusion d’informations en interne sur ce sujet peuvent permettre aux entreprises de détecter les salariés aidants au sein de sa structure.

Aussi, il semble essentiel de reconnaître et de valoriser les compétences développées par les aidants hors de l’entreprise : polyvalence, capacité à gérer le stress et à penser à tout (portage des repas, gestion de l’accompagnement des personnes aidées …).

Le CIDDF, L’UDAF 49, AG2R La Mondiale et le CCAS d’Angers soulignent l’importance d’avoir une démarche de reconnaissance globale et proposent des pistes de réflexion et d’action pour les entreprises.

 

La démarche de reconnaissance globale en entreprise

 

  • Inscrire la thématique dans la démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises, sous l’angle de la qualité de vie et du bien-être au travail
  • Ouvrir la parole pour faciliter le repérage des salariés aidants, avec écoute, empathie et bienveillance
  • Accorder des congés spécifiques réservés aux salariés aidants (congés de solidarité familial, congé proche aidant, congé de présence parental). Par exemple, la loi permet en effet à toute personne confrontée à la survenue d’un handicap chez un enfant de bénéficier de 2 jours de congés supplémentaires.
  • Permettre le don de jour de repos non pris
  • Aménager les horaires de travail. Le code du travail prévoit une disposition pour tout salarié en situation d’aidance.  65% des salariés aidants ont eu recours à un aménagement d’horaires.

Partage d’expérience : Le Crédit Agricole d’Anjou a réalisé un appel aux promesses de don auprès de ses salariés pour identifier celles et ceux qui seraient prêts à accorder des journées de repos à un.e collègue touché.e par la maladie. Plus de 100 collaborateurs se sont manifestés, avec des promesses de congés allant jusqu’à 5 jours. Cet accord a été inscrit en amont des dispositions législatives déjà existantes. Toutefois, ce don reste difficile en raison du frein psychologique existant chez l’aidant qui ne voudra pas que cela impacte ses collègues.

 

Trouver le bon interlocuteur

 

Qui sont les acteurs du territoire sur qui les entreprises et les salariés peuvent s’appuyer ?

  • L’UDAF 49 avec une permanence téléphonique d’écoute et d’information
  • Le CCAS d’Angers accompagne les proches aidants et plus particulièrement quand l’aidé.e est une personne âgée de plus de 60 ans : informations, soutien psychologique et ateliers bien-être
  • Le CIDFF du Maine et Loire, pour des conseils d’ordre juridique et des informations sur l’accès aux différents droits
  • Outre l’aide et l’accompagnement individuel de l’aidant, via l’action sociale des caisses de retraites complémentaires, AG2R LA MONDIALE propose aux entreprises des solutions telles que :
    • l’accompagnement individuel de l’aidant
    • l’apport de leur expertise pour faciliter l’accès à l’hébergement
    • le village répit famille pour partir en vacances avec un proche dépendant, avec le soutien d’une équipe médico-sociale
    • l’aide pour l’aménagement de l’habitat
    • l’accompagnement collectif avec un module de sensibilisation et de formation à l’ensemble des salariés et des managers
    • des ateliers thématiques bien-être et des formations e-learning pour les aidants

Dans la reconnaissance et l’accompagnement des salariés aidants, l’entreprise a ainsi un rôle important à jouer et pourra s’appuyer sur les acteurs compétents du territoire. Un moyen de permettre à ces actifs, toujours plus nombreux, de concilier temps de vie, santé et emploi, dans un cadre flexible et bienveillant.

 

Pour plus d’informations :

  • CIDFF du Maine-et-Loire : 35 rue Saint-Exupéry 49100 Angers – 02.41.86.18.04
  • UDAF 49 : 4 Avenue Patton 49003 Angers – 02.41.36.04.44 – aidants49@udaf49.fr
  • CCAS d’Angers : Boulevard de la Résistance et de la Déportation 49020 Angers – 02 41 05 49 49

 

De la responsabilité éducative des entreprises

Novembre est une période charnière pour des centaines de collègien.ne.s angevins qui s’apprêtent à fouler le sol de l’entreprise dans le cadre d’un stage découverte. L’occasion d’aborder le sujet de la responsabilité éducative des entreprises. Comment mieux impliquer les entreprises en tant qu’acteurs dans l’éducation ? Le think tank Vers Le Haut, a publié un rapport “ Manifeste pour la responsabilité éducative de l’entreprise” qui propose des idées et actions pour aller dans ce sens.

 

Des recommandations parties d’un constat

 

  • Jeunes, parents et chefs d’entreprises estiment que l’entreprise n’est pas suffisamment impliquée dans le système éducatif.
  • 1 chef d’entreprise sur 5 considère que le système éducatif est adapté au monde du travail.
  • Seulement 29% des jeunes considèrent que les entreprises leur font suffisamment confiance.

 

Ces chiffres (issus du baromètre Jeunesse&Confiance, 2017) illustrent l’important écart entre les jeunes et le monde de l’entreprise. Une distance qui, selon le rapport, engendrerait un taux de chômage élevé, une désorientation, un mauvais discernement des talents et des compétences.

 

A ce constat s’ajoute que les jeunes attendent des entreprises qu’elles agissent et qu’elles ne soient pas simplement des parties prenantes, face aux grands défis du monde tel que celui de l’Education. En effet, 83% des millenials considèrent que les entreprises doivent s’engager dans la résolution des problèmes de société.

 

De son enquête, Vers Le Haut tire deux enseignements. Si les entreprises ont déjà développé des actions à fort impact éducatif, ces dernières ne sont toutefois pas coordonnées et ne s’inscrivent pas dans une vision stratégique de long terme.

“Le rôle éducatif des entreprises n’est pensé ni par les entreprises, ni par les acteurs du monde éducatif”.

 

De la bonne volonté à la vision stratégique

 

Pour que les entreprises affirment leur position d’acteurs clés de l’éducation et qu’elles se saisissent de leur responsabilité éducative, Vers Le Haut à identifier 10 points d’impact potentiels de l’entreprise dans l’éducation.

 

Zoom sur des initiatives existantes

 

En matière d’orientation, le Think Tank propose des mesures en faveur de l’accueil des stagiaires de troisième et d’évaluation de la satisfaction des élèves mais également pour la connaissance des métiers à travers des interventions dans les établissements scolaires. Dans ce cadre, FACE et ses entreprises engagées participent à la découverte des métiers techniques et industriels avec Teknik. Le programme s’articule entre immersion dans des univers industriels et techniques, rencontres avec des collaborateurs et collaboratrices d’entreprise et conception de projet.

En terme de participation à la formation initiale, les propositions sont orientées vers l’apprentissage et les dispositifs de formation. L’occasion de citer les initiatives d’entreprises qui possèdent leurs propres écoles de formation et celles qui participent à la co-construction de ces dispositifs.  Sur le territoire angevin, les entreprises s’engagent pour l’initiation des collégiennes aux métiers et usages du numérique à travers le programme Wi-Filles.

 

Pour découvrir d’autres initiatives existantes ainsi que les idées et propositions de Vers le Haut, nous vous invitons à parcourir le ‘Manifeste pour la responsabilité éducative des entreprises”, un bel ouvrage qui donnera des clés aux entreprises pour s’engager en faveur de l’Education.